Après des années passées à bouger, d'Amsterdam à Paris, de Bruxelles à Berlin, la nomade tente de plonger ses petites racines dans le sol minier de Liège. Mais les aventures continuent avec la réalisation d'une thèse, l'adoption d'une nouvelle ville, l'éducation de deux chats et la cohabitation avec l'Homme...
jeudi 13 septembre 2007
La part d'ombre
Ce qui me frappe, dans ma lecture sur l'histoire du chat, c'est la grande variabilité des caractéristiques que l'homme attribuait au chat, au cours des siècles de cohabitation commune. Alors que la plupart des animaux sont connotés ou bien négativement ou bien positivement, le chat est perçu comme profondément ambigu. Utile, mais pas net. C'est ce que j'adore chez ces bêtes. Leurs yeux sont insondables. Ils nous rappellent qu'on ne connaît pas l'autre, l'autre nous échappe et nous échappera toujours. Je ne sais pas pourquoi, mais face à mes chats, cela me console. Je peux aimer ce que je ne comprends pas.
1 commentaire:
Anonyme
a dit…
Diese Zweideutigkeit und Rätselhaftigkeit sind es wohl, welche die Katze so menschenähnlich machen. beide verichern und beruhigen weniger, als sie wach halten.
Originaire d'un tout petit pays, la nomade adore les grandes villes et les considère comme des personnalités à part entières. Elle vit dans un quartier multiculturel et pauvre qu'elle interroge de son regard et qu'elle tente d'investir par ses actes. Ce blog est aussi pour elle l'endroit rêvé de partager et d'échanger sur ses lectures, ses aventures cinéma, théâtre, danse. Elle évoque le travail de sa thèse, surtout dans les moments de désespoir ou de bonheur créateur. Pudique de nature (elle aime partir), elle lèvera peut-être de temps en temps le voile sur la cohabitation avec l'Homme et les félins.
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Diese Zweideutigkeit und Rätselhaftigkeit sind es wohl, welche die Katze so menschenähnlich machen. beide verichern und beruhigen weniger, als sie wach halten.
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