Je voudrais prendre mon vélo et pédaler. Me retrouver dans des champs, sur des routes de campagne qui sentent l'été insouciant. Avoir chaud, avoir faim, être exténuée.
Je mettrais enfin de la distance entre moi et ce travail qui fait des noeuds dans ma tête et dans mon ventre. En route s'envolerait une après l'autre, chaque page de ma thèse, écrite ou à venir. Envolé aussi, le malheur de ces gens, nos rencontres parfois difficiles. Oublié, tout ce bazar inconscient qui ne cesse d'alourdir mes jours.
L'horizon s'étendrait devant moi.
(Photo: Bocage bourbonnais)
Je mettrais enfin de la distance entre moi et ce travail qui fait des noeuds dans ma tête et dans mon ventre. En route s'envolerait une après l'autre, chaque page de ma thèse, écrite ou à venir. Envolé aussi, le malheur de ces gens, nos rencontres parfois difficiles. Oublié, tout ce bazar inconscient qui ne cesse d'alourdir mes jours.
L'horizon s'étendrait devant moi.
(Photo: Bocage bourbonnais)
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